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  • : Ecolo - Michaël Leclercq - Thuin
  • : Ce blog vous présente Michaël Leclercq, Conseiller Communal à Thuin et Chroniqueur à la RTBF. Nous vous souhaitons un bon surf !
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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 15:46

 

http://www.sudpresse.be/regions/sambre_meuse/2011-04-13/chimay-le-zoning-de-baileux-sera-eco-zoning-865307.shtml

Le Gouvernement wallon vient de sélectionner cinq projets-pilotes d’“ éco-zonings ”, dont celui de Baileux-Chimay. Ce projet sera dote d’une somme de 263.000 € pour développer de bonnes

Dans le cas de Chimay-Baileux, ce projet-pilote est coordonné par l’intercommunale Igretec. Plusieurs entreprises du zoning chimacien sont partenaires: les Bières et Fromages de Chimay, le Cluster énergie et Coferme. La Fondation Chimay-Wartoise apporte son appui au projet.

 La dotation du Gouvernement wallon permettra de réaliser une étude de faisabilité. Il s’agira notamment de traiter les sous-produits de l’industrie agro-alimentaire afin de produire de l’énergie. il s’agira également de trouve les moyens d’en faire profiter les entreprises du zoning.

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 11:42

Voir l'article de LaLibre

Des villes (presque) sans voiture en 2050

La Commission veut bannir les moteurs thermiques des centres urbains. C’est une des mesures suggérées par son livre blanc sur l’avenir des transports.

A politiques inchangées, en 2050, le secteur européen des transports ira dans le mur, entraînant avec lui la qualité de vie des citoyens de l’Union, son économie et ses objectifs de lutte contre le réchauffement climatique, prévient la Commission européenne.

Qu’on en juge : sans changement de cap significatif, les transports européens dépendront à 96 % du pétrole et de ses dérivés. Le coût de la congestion des trafics routier et aérien aura augmenté de 50 %. L’accès des régions périphérique de l’Union sera de moins en moins aisé, et se déplacer coûtera plus cher.

 Quant au niveau d’émissions de gaz à effet de serre propre aux transports, il sera plus élevé d’un tiers que le niveau qu’il atteignait l’année de référence 1990. Et ce, alors qu’il devrait s’être réduit de 60 % pour que l’UE tienne ses engagements de lutte contre le changement climatique (- 80 à 95 % de réductions d’émissions en 2050).

2050, ça peut paraître lointain, mais en terme de réformes, c’est déjà demain. C’est d’ailleurs l’horizon que fixe le Livre blanc sur les transports que la Commission présentera, ce lundi, et dont "La Libre" a obtenu copie. "Cela prend des années pour planifier, construire et équiper les infrastructures - les trains, avions et bateaux sont conçus pour durer des décennies. Ce que nous décidons de faire maintenant déterminera le transport en 2050", peut-on y lire. Et une source européenne de commenter, sous le couvert de l’anonymat : "On doit prévoir un changement assez substantiel."

 

Par où commencer ? Si tous les secteurs sont concernés, le transport routier est le domaine où l’effort de décarbonisation doit être le plus soutenu, souligne la Commission.  En ville, notamment, où environ 75 % des déplacements urbains s’effectuent en voiture. Les experts estiment qu’entre 1995 et 2030, le nombre de kilomètres parcourus dans les villes européennes aura augmenté de 40 %. Intenable, en termes de pollution environnementale et sonore, de santé, de vie, de mobilité L’exécutif européen propose donc de diminuer de moitié l’usage des voitures à moteur thermique (essence, diesel, gaz ) dans les centres urbains d’ici à 2030, et carrément de les y rendre non grata en 2050.

Pour atteindre cet ambitieux objectif, le livre blanc avance plusieurs pistes, dont le développement des transports en commun. Mais il est surtout question de favoriser celui des voitures à carburation "non conventielle" : moteur électrique, à hydrogène.  Ce qui demandera de gros investissements en terme d’infrastructures, afin d’installer les outils logistiques (bornes de rechargement, stations, etc.) nécessaire au fonctionnement de ces véhicules "propres" dans les principaux centres urbains d’ici 2030. Par ailleurs, le document insiste également sur le rééquilibrage du transport de marchandises où la route se taille la part du lion - le transport routier est actuellement quatre fois plus important que le transport ferroviaire. La Commission propose donc de faire basculer de 30 % le transport routier de moins de 300 km vers le rail ou le transport fluvial et de viser les 50 % en 2050.

Pour en arriver là, il faudra rendre attractives les alternatives à la route... et dissuader les Européens d’user de véhicules polluants. Le livre blanc s’aventure dans le sensible domaine fiscal, chasse gardée des Etats membres. Le texte suggère une application étendue à l’échelle européenne d’une taxation basée sur le principe du "pollueur-payeur". Les voitures les moins "performantes" sur le plan environnemental et les poids lourds sont les premiers visés.

 

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 11:24

 

Voir l'article du journal LeSoir

Ecolo se prépare pour les communales de 2012

Il a réuni à Namur ses mandataires et militants pour procéder à un grand échange d’idées sur différents thèmes et préparer un nouveau programme.

Ecolo a posé samedi le premier jalon de sa campagne en vue des élections communales d’octobre 2012.

« Après différents succès, nous sommes convaincus que l’ancrage local d’Ecolo reste son dernier défi à relever », a expliqué le co-président Jean-Michel Javaux.

Ecolo entend renforcer cet ancrage, qui se traduit depuis 2006 par la participation à 32 majorités en Wallonie et à Bruxelles et par 57 échevins et 2 bourgmestres (Jean-Luc Roland à Ottignies et Jean-Michel Javaux à Amay). À croire M. Javaux, les Verts suscitent un mouvement d’adhésion qui va croissant, comme en 2007 ou en 2009, et qui se traduit parfois par un vote Ecolo de 15 pc ou de 20 pc dans des communes où le parti n’est pourtant pas présent.

 L’un des enjeux sera la participation à des majorités dans des grandes villes ou villes moyennes et une implantation dans des régions rurales, comme le Luxembourg, où Ecolo est peu présent.

Parmi les accents des Verts pour cette campagne, figure l’action citoyenne locale à laquelle Ecolo veut donner plus de sens ou la relation avec le personnel communal vu parfois avec méfiance parce qu’il serait l’héritier d’anciennes majorités.

 « Or, très souvent, ils demandent qu’on leur fasse confiance et qu’on leur laisse lancer des projets sans leur coller une étiquette politique », a fait remarquer M. Javaux.

Ecolo est convaincu de son succès en 2012. Pour ce faire, il devra se montrer convaincant, a averti la co-présidente Sarah Turine, et « passer du deuxième choix sympathique au choix indispensable ».

 Groen ! s’est également lancé dans la préparation des communales. « La Flandre de 2012 aura un tout autre visage que la Flandre de 2006 », a prédit le vice-président des écologistes flamands, Björn Rzoska.

La N-VA, encore peu présente au niveau local, pourrait changer considérablement la donne. Selon bon nombre d’observateurs, l’un des ressorts de la crise fédérale réside d’ailleurs dans le sort du cartel entre le CD&V, historiquement très bien implanté dans les communes, et les nationalistes flamands.

 « Le CD&V et la N-VA ont réentamé leur parade nuptiale pour le moins alambiquée et leur partie de poker pour savoir s’ils seront ou non en cartel », a expliqué M. Rzoska.

Le vice-président écologiste, historien de formation, n’a d’ailleurs pas mâché ses mots à l’égard des démocrates-chrétiens. Leurs manœuvres à l’égard des nationalistes lui font penser à certains catholiques flamands d’avant-guerre qui essayaient de s’associer avec des mouvements nationalistes alors en plein essor, comme le VNV de Staf De Clercq qui se compromit dans la collaboration avec l’occupant nazi.

« En tant qu’historien, je ne peux que constater des éléments de similitude avec cette période », a ajouté M. Rzoska en marge du congrès. (Belga)

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 21:11

 

http://www.lalibre.be/economie/libre-entreprise/article/648168/eoliennes-une-occasion-ratee.html

 

Eoliennes : une occasion ratée

Mis en ligne le 13/03/2011

 

La Belgique a loupé une superbe opportunité de reconvertir son économie. Démonstration... Une opinion de Tanguy Detroz, Directeur de Dapesco S.A. à Louvain-la-Neuve.

Un retour de Francfort par l’autobahn a fini de me convaincre la Belgique a vraiment raté une belle occasion. Ou plutôt une superbe opportunité de reconvertir son économie. Surtout quand on voit les résultats affichés par les pays qui ont, eux, réalisé le potentiel réel que représentaient les énergies renouvelables et particulièrement les éoliennes. Je ne parlerai pas des quelques éoliennes installées dans notre pays et qui contribuent, trop maigrement sans doute, à notre faible production d’énergie verte. Non, par opportunité, je veux parler de la construction de ces éoliennes qui, à elles seules, génèrent des milliers d’emplois au Danemark ou en Allemagne. Ce n’est pourtant pas faute de ressources ou d’entreprises performantes; c’est plus probablement faute de vision de nos dirigeants. Facile de leur jeter la patate chaude ? Démonstration.

 

Que faut-il pour construire une éolienne ? De l’acier pour son pylône ? ArcelorMittal à Liège ou Sidmar à Gand. Un gros transfo électrique ? Pauwels à Malines. Des câbles ? Nexans à Charleroi ou Dour. Des boîtes de vitesses et des engrenages ? CMI à Liège. Une expertise en aérodynamique ? Cenaero à Gosselies. Du télé-suivi pour valider les performances ? Dapesco (dont l’auteur est directeur, NdlR) à Louvain-la-Neuve. Et on pourrait continuer la liste avec toutes les sociétés qui pourraient assurer la maintenance, le génie civil, le transport des éléments. La construction d’éoliennes, c’est un gisement d’emplois extraordinaire et, plus encore, un gisement d’emplois que notre région aurait pu fournir sans devoir assurer de profonde reconversion. Tout est là, sous la main.

 

Quand on voit que la France vient de lancer un marché de plus de dix milliards d’euros pour la construction de quelques parcs éoliens, que des entreprises comme Enercon ou Vestas, constructeurs d’éoliennes, affichent des croissances et rentabilités insolentes en ces temps de crise, on ne peut que s’interroger sur la pertinence des choix évoqués par la Région flamande pour sauver Opel Anvers. 500 millions d’euros pour aider un constructeur de voitures à reprendre le site d’Anvers On sait pourtant tous que le secteur automobile est condamné à évoluer drastiquement. Que les voitures actuelles doivent changer pour répondre aux défis climatiques qui sont déjà là. Que mettre de l’argent sur la table pour faire "la même chose qu’avant", c’est de l’argent perdu.

 

 

Quel meilleur endroit que le port d’Anvers pour implanter une usine de production d’éoliennes de forte capacité ? Avec son accès direct aux docks et ses bâtiments kilométriques, ce site aurait permis, sans lourde modification, de propulser la Flandre - et ses partenaires wallons - à la tête d’une économie éolienne majeure. Les ouvriers présents sur place ont toutes les compétences nécessaires pour, dès demain, pouvoir assembler et exporter ce qui pourrait devenir un fleuron de notre économie. Les outils de production sont là, également pour développer à très court terme le petit éolien, celui que l’on verra fleurir sur les stations-service, les bâtiments administratifs ou le résidentiel.

 

Quel secteur, en effet, affiche de plus forte ambition que le secteur des énergies vertes et particulièrement de la production d’énergie renouvelable ? Le secteur de la construction l’a parfaitement compris. Les entreprises qui ont des carnets de commande pleins pour les 12 mois à venir sont surtout des constructeurs de maisons basse énergie. Fort différents des constructeurs que l’on voyait avant ? Non, ce sont les mêmes, ils ont juste réussi à s’adapter à temps et à heure. C’est la règle même de la survie telle que décrite par Darwin. Ne pas être le plus fort, mais s’adapter le plus vite et le mieux.

 

Nos dirigeants ne l’ont pas compris, et c’est là toute l’erreur. La transformation d’une économie ne passe pas par la mise à disposition de moyens pléthoriques ou la création d’un nouveau "machin" pour stimuler les entrepreneurs. Elle passe avant tout par un engagement et une vision. Par la création d’un cadre propice aux investissements et au développement d’une économie saine et non subventionnée. Il ne faut pas penser qu’un entrepreneur cherche avant tout à recevoir des subsides. Si l’Etat et les Régions pouvaient déjà payer leurs factures à temps et à heure, si les cadres législatifs pouvaient évoluer un peu moins et si, enfin, les structures administratives pouvaient gagner en efficacité, une part importante du chemin serait déjà parcourue.

 

Autant la subvention de panneaux solaires permet à la Chine de doper ses exportations, autant la fabrication d’éoliennes aurait permis de créer de l’emploi local et de profiter de marchés développés par d’autres pays. Bien sûr que le territoire belge est trop densément peuplé pour y installer les milliers d’éoliennes qu’il faudrait pour réduire significativement nos émissions de CO2. Le propos n’est pas là. Le propos est que pour qu’une économie puisse se développer, elle doit se positionner sur des marchés porteurs, créateurs d’emplois, permettant aux ressources existantes d’être utilisées au mieux. Dans les entreprises citées ci-dessus, combien ont dû faire appel au chômage économique ces derniers mois ? Combien de prépensions ont dû être octroyées, alors que Vestas ou Enercon engagent à la pelle. En tant qu’entrepreneur, j’éprouve, vis-à-vis de tous ces gens dont on a sabordé la carrière, un sentiment de culpabilité et de regret de voir le monde politique incapable de favoriser l’émergence d’un cadre qui nous aurait permis de créer tous ces emplois.

 

 

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 11:36

Belle édition du carnaval de Gozée ! L'après-midi, défilé de chars, des conceptions/réalisations "maison", c'est-à-dire faites par des groupes gozéens ,et à chaque fois de l'originalité, du travail aussi, pour créer les costumes, le décor du char, inventer les chorégraphies ...J'avoue ma préférence pour le groupe des Copains d'abord, déguisés en curés et nonettes, et le char des écoles communales, où élèves et parents étaient déguisés en personnages de BD, dont l'élève Ducobu !

 

 

Ensuite, détour chez mes parents, où nous dégustons la fameuse Gaufre de Gozée, une pâte à gaufres qui n'est faite que ce jour-là de l'année !  (c'est bon à mourir et, comme chaque année, je jure que demain, c'est régime ! )

 

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Le soir, c'est LE moment, le bûcher est allumé par les derniers mariés de l'année, le bois s'embrase, pas de vent, (presque) pas de pluie ... moment de magie, de fascination ...

 

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  Bravo à la mariée de l'année ..avec son jeune époux, elle a joué le jeu à fond en participant au cortège en robe de ...mariée !

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  Le grand feu, c'est aussi l'occasion de tailler une bavette avec les connaissances, les copains ... Salut Pierre, ardent défenseur du folklore gozéen, de l'histoire du village et correspondant pour Vers l'Avenir, à qui rien n'échappe !

 

 

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 18:10

 

13ème rassemblement des écologistes hennuyers

 

Ce Hainaut qui se développe en Vert !

 Programme :

08h30-09h00 Accueil

09h00-09h10 Introduction : Ensemble pour un Hainaut plus vert  par Marie-Claire HANNECART (Coordinatrice ECOLO Hainaut)

09h10-09h30 Anticipation des effets du pic pétrolier sur le territoire wallon

Présentation de l’étude réalisée par la Conférence Permanente de Développement Territorial par Fiorella QUADU Chercheuse au CREAT (Centre Régional d’Etudes en Aménagement du Territoire)

09h30-10h00 Témoignages, questions-réponses : Des citoyens actifs pour un Hainaut plus vert

10h00-10h25 Comportement des consommateurs et développement durable : réflexions sur l’éco-consommation par Marc VANDERCAMMEN (Directeur du Centre de Recherche et d’Information des Organisations de Consommateurs (C.R.I.O.C.)

10h25-10h35 Agriculture biologique et coopération Nord-Sud : expérience hennuyère au Chiapas par Jean-François BAVAY  (Responsable de l’ASBL Terres solidaires et Président de la fédération agricole wallonne du Hainaut (sous-réserve)

10h35-11h05 Témoignages, questions-réponses

11h05-11h20 Pause

Les pouvoirs publics, leviers vers un mode de développement sobre en carbone

11h20-11h30 L’écopôle de Farciennes, écologie industrielle et développement durable par Nathalie CZERNIATINSKY et Stéphane SOZOII, Intercommunale IGRETEC

11h30-11h40 Le plan HT VERT et ses implications hennuyères par Annabelle QUENON Collaboratrice à la S.W.C.S (Société Wallonne du Crédit Social)

11h40-11h50 De l’énergie éolienne pour les citoyens : expérience concrète au CPAS de Dour par Jean-François MITSCH (Responsable de la Coopérative émissions zéro) et Bob KABAMBA (Président du CPAS de Dour)

11h50-12h20 Questions-réponses avec les intervenants et Jean-Marc NOLLET, Ministre régional et communautaire ECOLO

Déverrouiller les trajectoires économiques traditionnelles dans les entreprises

12h20-12h50 Initiatives vertes en entreprises : Documentaire présentant une série de témoignages d’acteurs du monde des entreprises vertes hennuyères

12h50-13h00 Conclusions du rassemblemen t par Sarah TURINE, Co-présidente d’ECOLO

13h00 Cocktail dinatoire

 

Une rencontre enfants admis !

Une garderie gratuite sera organisée. En outre, en collaboration avec le Musée du Masque et du Carnaval, un atelier recyclage sera organisé. Il s’agit d’un atelier créatif qui accueillera les enfants de 5 à 15 ans.

Réservation obligatoire avant le 25 mars 2011 !

 

Une rencontre sobre en carbone !

Nous vous invitons à utiliser les transports en commun afin de vous rendre à Binche, le 2 avril. La Gare SNCB est située à 10 minutes à pied de l’auditorium du Musée du Masque. Autre solution ? Le covoiturage ! Un site reprenant l’ensemble des offres et des demandes est disponible sur la page web

 

Rassemblement Ecolo Hainaut ou sur un simple coup de fil à ECOLO Hainaut au 071 / 23 80 20. Un petit cadeau attend les usagers des modes de transport doux…

Une rencontre sous le signe de la convivialité !

En marge du rassemblement et dans le prolongement du marché hebdomadaire local, une série de stands de producteurs bios locaux se déroulera sur l’esplanade du Musée du Masque.

 

Réservation obligatoire avant le 25 mars 2011

A Ecolo Hainaut - Rue Lebeau 5 - 6000 Charleroi, fax (071 23 80 29) ou mail (ecolo.hainaut@ecolo.be)

 

Adresse de l’évènement :

Musée international du Carnaval et du Masque

Rue Saint Moustier, 10 à 7130 Binche

(Accès pour personnes à mobilité réduite)

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 20:33

Voir l'article du Soir

 

Donfut nommé à la tête de « Toit et moi »

 Didier Donfut a été nommé à la tête de la plus importante société de logements de Wallonie. Ecolo annonce un recours contre « une nomination politique ».

 Désigné fin novembre parmi les quatre administrateurs socialistes de la Sogepa (Société wallonne de gestion et de participations), l’ex-ministre wallon de l’Action sociale tombé en disgrâce a fait parler de lui à plusieurs reprises ces dernières semaines a été nommé directeur-gérant de l’immobilière sociale montoise Toit & Moi (ex-Sorelobo), la plus importante société de logements de Wallonie.

Recours

Ecolo annonce un recours contre cette « nomination politique inacceptable » qui « démontre que le PS monto-borain ne change pas ». « Un candidat se dégageait plus que clairement, or c’est le deuxième candidat, Didier Donfut, qui a été désigné et ce, sans justification solide juridiquement », estiment le député wallon Manu Disabato (Ecolo) et Laurette Prévot, administratrice de la société, dans un communiqué.

« Toit et moi » a connu en février 2003 l’incendie du bâtiment de logement social des Mésanges, à Mons, qui a fait sept morts, l’envoi d’un commissaire spécial à la suite de la découverte de dysfonctionnements, une polémique sur la gestion du commissaire spécial et des difficultés financières « énormes », rappelle Manu Disabato. Dernièrement, la Région wallonne a recapitalisé la société pour qu’elle puisse faire face aux défis du logement social.

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 18:48

Tu seras ingénieur, mon fils ! Tu seras infirmière, ma fille !

Ciné-Débat : Potiche

Pourquoi les filles « préfèrent » les sciences humaines, sociales ou le secteur de la santé ? Pourquoi la majorité des garçons s’engagent dans des filières techniques ou scientifiques ? Pourquoi les postes à responsabilité se conjuguent très souvent au masculin ?

Nos choix professionnels sont-ils écrits d’avance en fonction de notre sexe ? Ces « choix » sont-ils nourris au cours de notre scolarité ? Comment changer le cours des choses ? 

A l’approche de la journée internationale de la femme,

La locale Ecolo de Charleroi

vous invite à la projection du film

Potiche

de François Ozon

Avec

Catherine Deneuve

Fabrice Luchini 


Le samedi 26 février à 18h00

Cinéma Le Parc

(58, rue de Montigny à Charleroi)

Suivie d’une discussion avec Anne Cattiez (conseillère communale)

Isabelle Meerhaeghe (députée régionale)


En 1977, dans la petite ville de Sainte-Gudule, située dans le Nord de la France, l’usine de parapluies Pujol-Michonneau semble prospérer sous la direction de Robert Pujol qui a épousé la fille Michonneau, Suzanne. Mais bientôt les ouvriers protestent et séquestrent le patron tyrannique. Son épouse (la « potiche ») va prendre les choses en main…

Tickets en prévente : 2,50€ ( 4,30€ le jour même)

A réserver auprès de la locale ECOLO de Charleroi (du lundi au vendredi de 9h à 12h)

Rue Lebeau, 5 6000 Charleroi

Ge3c@ecolo.be

071/238020

Et pour amorcer le débat, je vous recommande la lecture de l'interview d'Isabelle Merhaeghe dans Le Soir de ce vendredi 25 février :

 

  « L'école entretient les clichés »

 

Voir l'article du Soir

La Carolo Isabelle Meerhaeghe (Écolo) s'est penchée sur sept études concernant les inégalités entre filles et garçons dans l'enseignement. Ces travaux montrent que les enseignants répercutent inconsciemment les stéréotypes dont ils ont hérité. Solution : leur offrir une formation qui tienne mieux compte de la dimension du genre.

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 07:10

Cette bonne nouvelle dans le secteur des déchets :

 

L’icdi annonce le démarrage d’une collecte d’ordures ménagères avec poubelle à puce (de 40, 140 et 240 litres) dès le 1er mai prochain sur l’entité de Les Bons Villers. L’ICDI prévoit d’élargir ensuite ce type de collecte à d’autres entités, avec comme objectif de couvrir en 2013, le quart de la population de sa zone. !

 

De plus, les déchets organiques, collectés à part, seront valorisés par un processus de biométhanisation,  qui permet notamment une production d’énergie électrique et thermique à partir de biogaz, ainsi que du compost organique de qualité…

 

A quand la poubelle à puce dans la zone Intersud ? ce principe, moderne, permet de responsabiliser le citoyen dans sa production de déchets , ça l’encourage (l’oblige ? ) à d’une part réduire mais aussi  à mieux trier les déchets produits. Cela permet aussi de mieux quantifier le coût de ses déchets, celui qui produit moins de déchets paiera moins ..

Je rappelle que quantité de communes wallonnes sont passées à la poubelle à puce depuis 2009 … on attends quoi ?

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 15:07

Nos gares sont souvent en piteux état lorsqu'elles ne sont tout simplement pas menacées de fermeture pure et simple... Ecolo a mené une enquête dans 23 points d'arrêts de la région de Charleroi et le constat, s'il n'a rien de surprenant, n'en est pas moins affligeant. Tout est à améliorer ou presque.

Voir le reportage de TéléSambre


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